11 novembre 1918, armistice et fin des combats. Fin d’une guerre dont nous avons appris que soldats français et allemands pensaient revenir vite très vite, 6 mois de combat tout au plus et puis s’en retournent chez eux, cela dura 4 ans.
Ce fut en fait la première guerre moderne, une guerre qui laisse encore aujoud’hui dans chaque commune son momument aux morts. 9 millions de morts et 23 millions de blessés sur les champs de bataille dont 1,3 millions de morts pour la France, 5,5 millions d’invalides. 10% de la population active masculine qui a disparu. La France et l’Allemagne sont marquées à jamais par cette saignée.
Paulette Vicente se souvient de son Grand-Père qui racontait comment il s’était retrouvé enterré vivant dans les tranchées, seule la tête dépassant lui ayant permis d’être repéré et déterré rapidement. Pourtant peu de soldats ont raconté le front, trop inaudible. Et pour conserver cette guerre plus que deux poilus et les livres d’histoires.
Le 11 novembre est un jour de deuil et de commémoration de toutes ses victimes. Victimes qui auront semblées bien inutiles au regard de l’histoire. De cette armistice et du Traité de Versaille qui s’en suit entretenant encore plus la rancœur des Allemands envers les « alliés », il en découlera une deuxièle guerre mondiale et un génocide sans précédant.
Pourtant, notre société découle de ces deux guerres. La France intégrée dans l’Union Européenne avec comme partenaires l’Allemagne et l’Angleterre ont réussit à se reconcilier et à adopter un projet commun pour déjà 60 ans de paix.
En France d’ailleurs, autre date commémorée le 8 mai, fin de la deuxième guerre en Europe. Et symbole oblige le 9 mai fête de l’Europe, en mémoire à la déclaration de Robert Schuman le 9 mai 1950, et comme clin d’œil au lendemain de la fin de la deuxième guerre mondial, au premier jour de paix, au premier jour vers la réconcialiation, au premier jour vers l’Union des peuples et nations qui se sont déchirés…
Ce fut en fait la première guerre moderne, une guerre qui laisse encore aujoud’hui dans chaque commune son momument aux morts. 9 millions de morts et 23 millions de blessés sur les champs de bataille dont 1,3 millions de morts pour la France, 5,5 millions d’invalides. 10% de la population active masculine qui a disparu. La France et l’Allemagne sont marquées à jamais par cette saignée.
Paulette Vicente se souvient de son Grand-Père qui racontait comment il s’était retrouvé enterré vivant dans les tranchées, seule la tête dépassant lui ayant permis d’être repéré et déterré rapidement. Pourtant peu de soldats ont raconté le front, trop inaudible. Et pour conserver cette guerre plus que deux poilus et les livres d’histoires.
Le 11 novembre est un jour de deuil et de commémoration de toutes ses victimes. Victimes qui auront semblées bien inutiles au regard de l’histoire. De cette armistice et du Traité de Versaille qui s’en suit entretenant encore plus la rancœur des Allemands envers les « alliés », il en découlera une deuxièle guerre mondiale et un génocide sans précédant.
Pourtant, notre société découle de ces deux guerres. La France intégrée dans l’Union Européenne avec comme partenaires l’Allemagne et l’Angleterre ont réussit à se reconcilier et à adopter un projet commun pour déjà 60 ans de paix.
En France d’ailleurs, autre date commémorée le 8 mai, fin de la deuxième guerre en Europe. Et symbole oblige le 9 mai fête de l’Europe, en mémoire à la déclaration de Robert Schuman le 9 mai 1950, et comme clin d’œil au lendemain de la fin de la deuxième guerre mondial, au premier jour de paix, au premier jour vers la réconcialiation, au premier jour vers l’Union des peuples et nations qui se sont déchirés…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire